Tuesday, March 12, 2013

Ανακοίνωση ΥΠΕΞ σχετικά με την αποστολή ρηματικής διακοίνωσης της Τουρκίας στον ΟΗΕ

Τρίτη, 12 Μάρτιος 2013
 
Το Υπουργείο Εξωτερικών ενημερώθηκε ότι η Τουρκία έστειλε ρηματική διακοίνωση στον Οργανισμό Ηνωμένων Εθνών, σε απάντηση της ελληνικής ρηματικής διακοίνωσης της 20ης Φεβρουαρίου 2013.

Η τουρκική ρηματική διακοίνωση, όπως εξάλλου αναμενόταν, επαναλαμβάνει τις γνωστές απόψεις της, και αντικρούει τις ελληνικές θέσεις, όπως έχουν διατυπωθεί στο κείμενο που εστάλη στο Γενικό Γραμματέα των Ηνωμένων Εθνών.


Αμφισβητεί το δικαίωμα των ελληνικών νησιών σε υφαλοκρηπίδα και ΑΟΖ, κατά παράβαση του άρθρου 121 της Σύμβασης του Δικαίου της Θάλασσας, το οποίο σύμφωνα με τη διεθνή νομολογία έχει εθιμικό, άρα υποχρεωτικό, χαρακτήρα που δεσμεύει όλες τις χώρες της Διεθνούς Κοινότητας.

Η ελληνική κυβέρνηση, σε συνέχεια και των πρόσφατων ενεργειών της, θα διασφαλίσει όλα τα κυριαρχικά δικαιώματα της χώρας, όπως αυτά απορρέουν από το Διεθνές Δίκαιο.

12/3/13

2 comments:

  1. Athènes rêve d'or noir, au risque d'irriter la Turquie....

    [La détection de gisements pétroliers au fond de la Méditerranée menace de relancer les tensions entre les deux pays.]

    À l'heure où les négociations avec ses créanciers publics patinent, le gouvernement grec entend miser sur l'exploitation de ses ressources naturelles - au risque d'attiser les tensions régionales. Pour réduire le déficit et résorber la dette, le premier ministre Antonis Samaras est en effet prêt à tout plutôt que d'adopter de nouvelles mesures d'austérité, aussi impopulaires qu'inefficaces. Tandis que la troïka menace de couper les vivres au pays, sa dernière trouvaille consiste à tirer profit de la richesse supposée des fonds marins compris entre la Grèce et la Turquie.

    À Athènes, face au président François Hollande, comme lors d'un récent tête-à-tête avec le premier ministre turc, Recep Tayyip Erdogan, à Istanbul, Antonis Samaras a fait de l'exploitation de gisements d'hydrocarbures une priorité. Se basant sur des indications préliminaires publiées dans plusieurs rapports internationaux, le premier ministre grec affirme qu'il existe de fortes probabilités de trouver gaz et pétrole au sud de la Crète, ainsi qu'en mer Ionienne. Ces gisements seraient même prometteurs, selon une minorité d'experts. Certains parlent d'une réserve de plus de 100 milliards de barils. ......

    Pour y voir plus clair, les autorités grecques ont confié, en début d'année, une mission exploratoire à la société norvégienne PGS. .....

    Theodore Tsakiris estime qu'il s'agit là d'une opération bénéfique pour le pays tant sur le plan financier qu'économique et géopolitique. «Les premiers résultats du forage ne seront visibles que dans trois ou quatre ans, mais le gouvernement grec va dès à présent pouvoir en tirer argument pour faire patienter ses créanciers, explique-t-il. Si les ressources sont comparables à celles de Chypre, qui a déclaré être en mesure de s'approvisionner en énergie pendant 150 ans, Athènes pourra à terme se libérer de la tutelle budgétaire.» À moins qu'un conflit de voisinage avec la Turquie ne retarde l'exploitation de ces réserves…

    Au début des années 2000, la découverte de gisements à proximité de ­Chypre a ainsi passablement compliqué les relations entre Nicosie et Ankara qui, chacun de son côté, ont engagé des prospections séparées. Les réserves du champ revendiqué par Chypre, nommé Leviathan, pourraient dépasser 450 milliards de m³ de gaz, selon les découvertes de la société américaine Noble Energy. Une manne qui a récemment donné au gouvernement de Nicosie l'idée d'émettre des titres obligataires sur ses ressources naturelles, dans l'espoir de rembourser sa dette.

    Mais voilà: la Turquie conteste ces exploitations et menace d'organiser des manœuvres militaires pour imposer sa présence. Comme Chypre avant elle, la Grèce devra se doter d'une zone économique exclusive (ZEE) pour explorer ses zones marines et sous-marines au sud-ouest de la mer Égée. En retard sur la quasi-totalité des pays du sud de l'Europe, qui ont délimité la leur depuis longtemps, Athènes n'a déposé sa demande aux Nations unies que le 20 février dernier. Or la Turquie voisine ne l'entend pas de cette oreille. Le 12 mars, Ankara a transmis à l'ONU ses propres revendications, qui entrent en conflit avec celles d'Athènes. Elle affirme notamment que les fonds marins du sud des îles grecques de Rhodes et Kastélorizo lui appartiennent, et n'a pas attendu pour y lancer ses propres explorations.......http://www.lefigaro.fr/international/2013/03/31/01003-20130331ARTFIG00165-athenes-reve-d-or-noir-au-risque-d-irriter-la-turquie.php
    1/4/13

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    1. Τα ελληνοτουρκικά σε συνάντηση Σαμαρά-Αβραμόπουλου....

      Οι ελληνοτουρκικές σχέσεις ήταν το βασικό θέμα της συνάντησης που είχαν, για περισσότερο από μία ώρα, ο Υπουργός Εξωτερικών της Ελλάδας Δημήτρης Αβραμόπουλος με τον Πρωθυπουργό Αντώνη Σαμαρά.

      Ο κ. Αβραμόπουλος ενημέρωσε τον Πρωθυπουργό για τις επαφές που είχε στο εξωτερικό αλλά και για τις τελευταίες εξελίξεις σε ζητήματα εξωτερικής πολιτικής, με επίκεντρο τις τελευταίες δηλώσεις και την επιστολή του Τούρκου Υπουργού Εξωτερικών Αχμέτ Νταβούτογλου καθώς και την ελληνική αντίδραση.

      Επίσης, συζητήθηκαν και οι προετοιμασίες που γίνονται από το Υπουργείο Εξωτερικών για την ανάληψη της προεδρίας της ΕΕ από την Ελλάδα τον Ιανουάριο του 2014.

      http://www.sigmalive.com/news/greece/38055
      1/4/13

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